Le Concours National de la Création Agroalimentaire Bio 2023 est officiellement lancé

Affiche du Concours National de la Création agroalimentaire bio 2023 -©CNAB
La 11ème édition du CNAB, le Concours National de la Création Agroalimentaire Bio est officiellement lancée. Toute entreprise de moins de 3 ans peut candidater avant le 31 octobre 2023.
Depuis plus de 10 ans, le Concours National de la Création Agroalimentaire Bio récompense les jeunes pousses de la création agroalimentaire bio. Il offre à chaque candidat l’opportunité de faire grandir son projet en le défendant devant un jury d’experts reconnus. Véritable tremplin, le CNAB offre une visibilité accrue auprès de nombreux distributeurs et clients en quête de nouveauté (live auprès des professionnels (journalistes, magasins bios, vrac et enseignes) + atelier préparation pitch + accompagnement personnalisé aux 10 finalistes).
Cette année, une amélioration pour vous accompagner : vous serez coachés pour présenter vos pitchs. Alors, si vous avez un projet innovant, si vous souhaitez franchir un cap important ou trouver de nouveaux financements pour le développement de votre activité, le CNAB est fait pour vous ! Il constitue le meilleur atout de la création agroalimentaire bio.
3 prix, avec plus de 30 K € de dotation seront remis aux 3 lauréats, lors du prochain Salon International de l’Agriculture, dont un abonnement d’un an à ingrebio.fr.

 

Les dates importantes à retenir :
  • 31 octobre 2023 : Date limite de dépôt des candidatures
  • 03 novembre : Live sur la chaine Youtube de Aventure bio, tous les candidats pitcheront leurs projets
  • 07 novembre : Préselection des 10 meilleurs dossiers
  • 30 novembre : Jury du CNAB dans les locaux du Groupe Ecocert
  • 1er décembre : Jury pour le prix coup de coeur étudiant
  • Février 2024 : Remise des prix lors du Salon International de l’Agriculture à Paris

 

La vidéo de lancement :

 

Pour en savoir plus et candidater : le site du Concours national de la création agroalimentaire bio !

Voir l’article sur les gagnants de l’année dernière : 10e édition – Concours National de la Création Agroalimentaire Bio

 


Un espace agroalimentaire sur Tech&Bio pour structurer ses filières d’approvisionnement bio

Espace agroalimentaire à Tech&Bio en 2022

 

Le salon agricole Tech&Bio est un lieu unique qui rassemble les acteurs de la filière biologique. 21000 visiteurs et 375 exposants sont attendus les 20 et 21 septembre 2023 dans la Drôme.

L’Espace Agroalimentaire – sourcing & débouchés est spécifiquement dédié aux transformateurs et distributeurs bio exposants. Le Cluster Bio Auvergne-Rhône-Alpes et le Synabio ont la charge d’animer cet espace BtoB.

Ils proposent aux entreprises d’exposer à Tech&Bio, notamment pour ces 4 raisons :

  1. Être identifié par des partenaires agricoles pour structurer les filières bio (producteurs, coopératives, …)
  2. Consolider les liens avec l’amont agricole
  3. Afficher son engagement pour le soutien des filières bio françaises
  4. Trouver des nouveaux clients BtoB

Ce salon constitue en effet une opportunité pour toute entreprise souhaitant consolider ses approvisionnements en direct. Cette année, les visiteurs auront aussi la possibilité de demander des rendez-vous avec les entreprises lors de leur parcours d’inscription, ce qui augmentera la qualité des échanges et la visibilité des entreprises.

 

Informations et inscriptions : https://www.cluster-bio.com/fr/le-cluster/evenements/techampbio-espace-agroalimentaire-sourcing-amp-debouches/

 


Natexpo 2023 : Le salon international des produits bio se prépare

-© Natexpo

 

Le compte à rebours a commencé pour Natexpo 2023, le salon international des produits biologiques, qui ouvrira ses portes dans seulement 5 mois. Cette rencontre incontournable pour les professionnels de la bio se tiendra en octobre 2023 et déjà plus de 1400 exposants et marques ont confirmé leur présence.

La croissance du nombre d’exposants internationaux est un indicateur fort de l’attrait croissant pour le secteur de la bio. Des entreprises de toute l’Europe, telles que l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, la Grande-Bretagne, la Hongrie, l’Italie, la Lettonie, les Pays-Bas et la Suisse, se préparent à présenter leurs dernières innovations à Natexpo 2023. Cette dimension internationale du salon s’affirme et s’accentue, renforçant ainsi son influence sur la scène mondiale.

Natexpo 2023 sera l’occasion pour les professionnels de découvrir une gamme variée de produits biologiques. Des aliments aux cosmétiques, en passant par les compléments alimentaires, les ingrédients, les éco-produits, les éco-services et les équipements pour les magasins, tous les secteurs de la bio seront représentés.

Outre l’exposition des produits, Natexpo 2023 propose un contenu riche et instructif. Les « Matinées de l’international », organisées sur l’Agora, offriront des discussions approfondies sur les marchés bio étrangers, leurs liens avec la France et les tendances internationales. Une grande nouveauté cette année est la présence d’un pavillon allemand avec 14 exposants, ainsi que la participation d’Ecovalia Espagne, l’association professionnelle de la production bio espagnole, sur un pavillon dédié.

Les « BtoB meetings », en partenariat avec Business France, permettront aux exposants français de rencontrer des acheteurs étrangers ciblés, favorisant ainsi les opportunités commerciales et les partenariats internationaux. Cette édition verra également l’arrivée de deux acheteurs internationaux du secteur cosmétique, qui viendront spécialement à la rencontre des marques françaises.

Natexpo 2023 s’affirme comme un événement incontournable pour tous les acteurs de la bio. Ce salon offre une plateforme unique pour découvrir les dernières tendances, établir des partenariats solides et contribuer à la croissance d’une industrie en plein essor.

Réservez dès maintenant vos dates pour Natexpo 2023 et préparez-vous à être immergé dans l’univers passionnant de la bio.
Pour plus d’informations et pour vous inscrire en tant qu’exposant ou visiteur, consultez le site officiel de Natexpo.

Retrouvez nos articles sur Natexpo 2022 :

NATEXPO 2022 : Des compléments alimentaires bio toujours plus séduisants
NATEXPO 2022 : Quand innovation bio rime avec résilience alimentaire


Un renforcement du plan d’aide au secteur bio apprécié mais insuffisant

Restauration collective et bio - ©Adocom

 

Ce 17 mai, le ministre de l’Agriculture et de la souveraineté alimentaire a annoncé un plan d’aide de 200 millions d’euros pour soutenir l’agriculture biologique. Celui-ci est annoncé comme un renfort au premier plan d’urgence de 10 M€ lancé lors du Salon de l’Agriculture fin février. Enveloppe jugée dérisoire par les acteurs de la Bio et qui avait provoqué un mouvement de colère générale du secteur.

Quelles attributions pour cette enveloppe supplémentaire et quelles réactions au sein des acteurs bio ? … Résumé

 

Le détail du plan de soutien à l’agriculture bio

Le plan d’aide à l’agriculture biologique annoncé par Marc Fresneau ce 17 mai se décline en différents leviers[1] pour atteindre près de 200 M€ selon le ministre.

Tout d’abord, le montant de l’aide d’urgence est porté à 60 millions d’euros au lieu des 10 proposés en février. Cette aide conjoncturelle doit rapidement « aider à résoudre les difficultés les plus urgentes des filières agricoles en agriculture biologique ».

Les deux autres leviers visent à promouvoir la consommation des produits biologiques et à redynamiser le marché :

  • Un soutien financier à l’Agence Bio pour relancer la campagne de communication Bioréflexe
  • Un engagement de l’État à faire atteindre, d’ici la fin de l’année, les objectifs d’Egalim en restauration collective (50 % de produits sous signe de qualité et durables et 20 % minimum de produits biologiques) ce qui représenterait un « soutien par la demande d’environ 120 millions d’euros ».

A noter que le ministère entend aussi soutenir particulièrement les filières des fruits biologiques en remobilisant le programme européen de distribution de fruits dans les écoles (en priorisant les fruits biologiques).

 

Un plan d’aide insuffisant au regard de la crise actuelle pour les acteurs

Le secteur de l’agriculture biologique traverse une crise sans précédent depuis deux ans, confrontée à une baisse soudaine des ventes sur les circuits principaux (GMS et MSB) post-COVID.

Aussi, les réactions ne se sont pas fait attendre suite à l’annonce du ministre de l’Agriculture et de la souveraineté alimentaire. Dans son communiqué de presse du 17 mai, La Maison de la Bio[2] accueille le renfort du plan d’aide comme « un pas dans le bon sens », mais le juge encore insuffisant. Dans un autre communiqué commun, la FNAB, Forebio et le Synabio estiment les montants alloués « en-deçà des besoins chiffrés depuis un an ».

Le soutien conjoncturel de 60 M€, permettra d’atteindre un soutien de 960 € par ferme bio. Ceci est encore trop faible, sachant que les pertes en 2022 ont été chiffrées à plus de 150 millions d’euros par les filières. Le CNIEL identifie par exemple un besoin de 71 millions d’euros sur la seule filière laitière pour 2023 (après 53 millions d‘euros en 2022) et les professionnels du porc biologique environ 30 millions d’euros (en 2022 et aussi en 2023).

Pour mémo, les précédents soutiens d’urgence du gouvernement étaient de 1,2 milliards d’euros versé à la filière volaille, confrontée à une crise aiguë de grippe aviaire, ou de 270 millions d’euros attribués pour la filière porcine.

La filière Bio déplore donc le manque de mesures qui s’attaquent aux causes de la crise. Elle réitère également sa demande de retour de l’aide au maintien à travers l’augmentation de l’écorégime à 145 euros contre 110 euros.

Si la volonté de l’État de faire appliquer la loi dans la commande publique est appréciée, les acteurs n’en sont pas moins suspicieux. « Comment l’Etat va-t-il obliger les collectivités à agir, alors qu’il refuse de le faire depuis 2017 », s’interroge Philippe Camburet, président de la FNAB. « Cette mesure ne ressemble-t-elle pas plutôt à un transfert de dépenses vers les collectivités territoriales ? », se demande La Maison de la Bio. Quand d’autres constatent amèrement que cette enveloppe servira également à financer 50% de produits sous d’autres signes de qualité, tels que le décrié label HVE.

Pour le reste, les acteurs saluent l’investissement pour une nouvelle campagne de communication, souhaitant qu’il soit mobilisé rapidement pour retrouver les consommateurs, mais aussi que celui-ci s’inscrive dans la durée. D’autant que, selon un récent sondage IFOP[3], commandé par La Maison de la Bio, l’agriculture biologique répond à une demande croissante des Français. En effet, ce sondage réalisé en avril 2023 montre que près de 70 % des Français souhaitent une transition de notre modèle agricole français vers le bio, tandis que 64 % d’entre eux signalent un manque d’action du gouvernement.

« Si le Gouvernement souhaite atteindre son objectif ambitieux de développement de l’agriculture bio en France, fixé à 18 % de la SAU d’ici 2027 (contre 10,3 % actuellement), il devra intensifier sa démarche et faire de la transition vers une agriculture et une consommation biologique une véritable priorité dans l’agenda politique des prochains mois », conclut La Maison de la Bio.

 


[1] Communique de presse ‘Le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire renforce le plan de soutien au secteur de l’agriculture biologique, avec un appui additionnel de près de 200 M€’, 17/05/2023
[2] La Maison de la Bio a été créée afin de réunir les six principales organisations défendant les filières Bio (Cosmebio, Forebio, Natexbio, Synabio, Synadiet, Synadis Bio), rejoints en 2022 par Bio Équitable en France, BioPartenaire et Bio Valeurs. La Maison de la Bio représente 10 000 entreprises issues de l’agriculture, de l’alimentation, de la distribution, des cosmétiques et des compléments alimentaires.
[3] Etude Ifop pour La Maison de la Bio réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 21 au 24 avril 2023 auprès d’un échantillon de 1000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.


La Quinzaine du commerce équitable est l’occasion de s’informer et de sensibiliser

Quinzaine du Commerce Equitable - ©Commerce Equitable France

 

Chaque mois de mai, la Quinzaine du commerce équitable réunit les acteurs du secteur autour d’un défi commun : promouvoir une économie plus juste et encourager des modes de consommation plus durables et équitables.

Cette année, du 13 au 28 mai, plus d’une centaine d’opérations seront organisées partout en France : les consommateurs seront ainsi invités à la rencontre des entreprises, producteurs, collectivités et associations toujours plus engagés en faveur du commerce équitable. Retrouvez tous les événements sur le site web dédié.

Les évènements de sensibilisation sont accompagnés d’une campagne de communication à laquelle chaque acteur du commerce équitable peut contribuer. Le collectif Commerce Équitable France qui coordonne ce temps fort a mis à disposition de nombreux outils dont chacun peut s’emparer : bannières, modèles de posts, affiches…

 

A noter que Commerce Équitable France a également élaboré une fiche pratique d’arguments « Comment lever les freins et dépasser les idées reçues sur le commerce équitable ? » qui répond à une douzaine de questions et idées reçues, qui peuvent faire freins à la sensibilisation des consommateurs.

 

Le commerce équitable, un modèle résilient face aux crises

L’agriculture et l’alimentation sont au cœur de questions de société majeures : l’insuffisance des revenus et la paupérisation des agriculteurs, la perte d’attractivité du métier d’agriculteur, la disparition des exploitations agricoles françaises, l’effondrement de la biodiversité et la pollution causées par l’agriculture industrielle… Ces multiples défis témoignent des difficultés à transformer notre agriculture et notre alimentation dans un contexte d’accroissement des inégalités sociales, de crise économique et climatique.

Depuis plus de quarante ans, le commerce équitable propose de réduire les inégalités sociales et environnementales engendrées par le commerce conventionnel… et apporte la preuve qu’il peut être un véritable levier performant pour une transition écologique et solidaire. Le commerce équitable garantit aux producteurs des prix stables, et rémunérateurs pour vivre dignement de leur travail, améliorer leurs conditions de vie, et adopter des modes de production respectueux de leur environnement en permettant par exemple d’investir dans la transition agroécologique.

 

Quelques chiffres clés

  • 8 labels signalent et garantissent la conformité à la loi
  • Plus de 10 000 produits issus du commerce équitable sur le marché français
  • 7 critères définis par la loi ESS de 2014, à remplir pour qu’un produit soit considéré comme issu du commerce équitable
  • Plus de 500 entreprises françaises engagé.e.s
  • 100% des filières françaises de commerce équitable sont composées de produits agricoles et alimentaires

Pour en savoir plus

 

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La Commission Européenne adopte le règlement sur le sel bio

sel bio

 

Le règlement (UE) 2018/848 en vigueur depuis le 1er janvier 2022, inclut ‘le sel marin et les autres sels destinés à l’alimentation humaine et animale’ dans le champ d’application des règles de production biologique.

Il manquait cependant le détail des critères de production biologique pour ces sels. Le projet de loi européenne qui a fait l’objet d’une consultation publique du 7 décembre 2022 au 4 janvier 2023 – et de nombreuses controverses[1] – vient d’être adopté ce 2 mai. Il entrera en vigueur d’ici fin mai.

Ce qu’il faut en retenir…

 

Le sel bio définit par la Commission Européenne

Le sel bio est défini comme obtenu à partir d’eau de mer, de dépôts de sel gemme, de saumure naturelle ou d’eau de lacs salants. Il n’est pas considéré comme ingrédient d’origine agricole.

Les sels peuvent être obtenus selon différentes méthodes, tels que le séchage pour les sel marin ou issus de lacs salants ou par extraction pour les sels gemme.

L’attention du règlement porte donc principalement sur les techniques de production et sur les incidences de ces productions sur l’environnement. Les techniques de production et de préparation du sel doivent  

 


La Bio évolue, les trophées Natexpo aussi !

ceremonie des trophees Natexpo

 

Natexpo, le salon international des produits biologiques, convie les entreprises de la bio à candidater aux Trophées Natexpo jusqu’au 12 mai 2023.
Depuis 2005, cette compétition avant-gardiste distingue les produits les plus novateurs, impactants et originaux lancés sur le marché bio durant l’année écoulée. Pour cette édition, les Trophées Natexpo s’offrent un nouveau souffle avec un jury renouvelé et deux nouvelles catégories de produits, dont une dédiée aux Ingrédients & Matières Premières bio.

Ce concours met en avant les produits bio les plus innovants et les soumet à l’appréciation d’un jury de professionnels de la santé, du bien-être, de journalistes, d’experts de la bio et de distributeurs. Pour être éligibles, les produits candidats doivent avoir été commercialisés lors de l’année écoulée.

 

2 nouvelles catégories pour toujours mieux représenter les tendances du marché !

Les Trophées Natexpo récompensent les dix catégories de produits suivantes : « produits frais », « produits d’épicerie sucrés », « produits d’épicerie salés », « boissons », «compléments alimentaires », « cosmétique et hygiène », « ECO Produits / ECO Services », « services et équipements pour le magasin et les marques ».

Grande nouveauté pour cette édition 2023, deux nouvelles catégories intègrent le palmarès : « Ingrédients et Matières Premières », pour
mettre en valeur les fournisseurs d’ingrédients alimentaires et cosmétiques, et « Petites Pépites » pour récompenser les petites structures innovantes.

 

Un jury professionnel renouvelé pour les Trophées Natexpo

Pour cette édition, Natexpo a également renouvelé son jury en faisant notamment appel à Emna Everard, Vicplusgreen et Sylvain Zaffaroni.

Emna Everard a lancé Kazidomi.com, une marketplace proposant des produits bio à des prix abordables. Sa mission est de permettre à tout un chacun de prendre soin de soi au quotidien, grâce à des produits plus sains et à des pratiques plus justes.

Vicplusgreen est une créatrice de contenu et influenceuse qui informe, sensibilise et conseille plus de 40 000 abonnés sur sa page instagram pour accompagner tous ceux qui souhaitent vivre un quotidien plus responsable.

Sylvain Zaffaroni est le co-fondateur de Pour Nourrir Demain, un média qui met en avant l’innovation alimentaire durable en France et à l’international.

Le jury bénéficiera aussi de la présence nouvelle de Silène Levoir-Levillain, membre de l’INEC et Laure Jeandemange, journaliste des Nouvelles Esthétiques.

Enfin, Gaëlle Frémont, déjà présente l’an passé, et fondatrice d’INGREBIO, apportera son éclairage sur la formulation des produits et les ingrédients dans le cadre de la nouvelle catégorie dédiée.

Les fidèles Antoine Lemaire, rédacteur en chef de Biolinéaires et Olivier Costil journaliste pour le Monde du Bio Gourmet renouvelleront leur présence pour cette nouvelle édition.

 

LES INSCRIPTIONS SONT OUVERTES JUSQU’AU 12 MAI 2023

Forts de ces nouveautés, les Trophées Natexpo constituent le point de rendez-vous des entreprises du secteur bio les plus innovantes de l’année ! Pour déposer leur candidature, les entreprises pourront consulter les conditions de participation sur le site du salon.

La remise des 11 Trophées aura lieu sur le Salon Natexpo qui se tiendra cette année du 22 au 24 octobre à Paris Villepinte.

 


Les clés pour relancer la croissance du bio : Bio N’Days 2023

Bio N'Days 2018 - ©Cluster Bio

 

 

Les BIO N’DAYS 2023 sont de retour pour leur 7ème édition le 6 juin prochain à Valence et en ligne. Cet évènement international, organisé par le Cluster Bio Auvergne-Rhône-Alpes, a su s’imposer comme le rendez-vous d’affaires incontournable sur les produits biologiques des transformateurs, distributeurs et experts de l’alimentation et du bien-être.

Sur une journée, les conférences et échanges vous apporteront les clés de compréhension du marché bio et des pistes pour renouer avec une croissance durable du bio. Un showroom produit permettra de découvrir les nouveautés 2022-2023 et l’inventivité du secteur !

Venez échanger avec les acteurs du secteur, assistez aux conférences et participez à la dynamique bio !

 

Un avant goût des clés pour relancer la croissance du bio

Face aux enjeux de pouvoir d’achat auxquels sont confrontés les ménages français, la filière biologique vit une année 2023 difficile. Un mois après le Salon international de l’Agriculture, de nombreuses annonces ont été faites pour soutenir la filière agricole conventionnelle, la filière biologique étant le parent pauvre de ces arbitrages… Comment renouer le dialogue entre les acteurs de l’Agriculture Biologique et les élus ? Comment le bio peut garder sa place dans les objectifs environnementaux du pays ?

Et du côté du grand public, comment communiquer sur les limites du système de consommation actuel, donner le cap d’un modèle alternatif et identifier les obstacles pour proposer un chemin vers ce nouveau paradigme de production ? Quelques idées : Créer une sécurité alimentaire sur le modèle de la sécurité sociale, développer l’agriculture urbain, changer les critères de distribution de la Politique Agricole Commune…Ces propositions seront abordées dans une conférence dédiée lors de Bio N’Days 2023 le 6 juin prochain à Valence et en ligne.

 

Programme des Bio N’Days 2023:

9h30 : Allocution d’ouverture
Vincent BASCOUL – Président du Cluster Bio Auvergne-Rhône-Alpes, et fondateur de Namaki Cosmetics
Adrien PETIT – Directeur du Cluster Bio Auvergne-Rhône-Alpes.
 
10h
: « Prise de recul sur le modèle agricole, agroalimentaire et cosmétiques »
Sébastien LEVIONNOIS – chercheur à l’INRAE en agroécologie et membre bénévole aux Greniers d’Abondance.

 

CONNAÎTRE LES CHIFFRES DU MARCHÉ BIO POUR AJUSTER SA STRATÉGIE

En 2022, l’inflation a connu un record et les marchés bio en circuits conventionnels et spécialisés ont connu un recul de plusieurs points pour laisser la consommation bio en-dessous de la barre des 5%. Changement des habitudes de consommation suite au Covid-19, impacts de l’inflation sur les Français, où en sera la consommation de produits biologiques dans les différents circuits de distribution au semestre prochain ?

11h : « Les chiffres du marché Bio en GMS, Drive et parapharmacies »
Emily MAYER, directrice des études chez Circana (ex-institut IRI).
 
11h30 « Les chiffres du marché bio en magasins spécialisés »
Bernard OLLIE, directeur de l’agence good.
 
12h : « Témoignage d’un transformateur Bio »
Renaud CHAMONAL, Président d’Écotone, réseaux spécialisés et administrateur du Synabio.

 

RESTER PRÉCURSEUR ET ACCÉLÉRER LE CHANGEMENT DE MODÈLES POUR UNE CONSOMMATION RESPONSABLE

Les acteurs de la filière biologique sont précurseurs du changement de modèle de consommation, notamment la végétalisation des assiettes, le vrac, les formats solides, etc. L’urgence écologique est maintenant largement relayée dans les médias auprès du grand public. Quelles solutions l’agriculture biologique et ses représentants apportent à la transition écologique et comment en parler ? Comment aller plus loin ?
D’autre part, comment les collectivités territoriales via l’application de la loi EGALIM participent et sont un formidable levier de développement du bio auprès des jeunes générations et, par ricochet, de la population française ?

14h : « La responsabilité des entreprises Bio dans la transition »
Antoine COUTURIER, chargé de projets stratégies territoriales chez Solagro.
 
14h30 : « La reterritorialisation des filières »
André HYVRIER, responsable agronomique chez Elixens.
 
15h : « Le Bio en RHF : un potentiel commercial sous-exploité »
Claudia CLAVEL, responsable qualité nutrition au Conseil Départemental de la Drôme.

 

EMBARQUER LE CONSOMMATEUR DANS CETTE TRANSITION VERS LES PRODUITS BIOLOGIQUES

Plusieurs points de contact permettent au consommateur d’être embarqué dans la transition écologique et la consommation de produits biologiques. La consigne fait partie de ces sujets favorables où le bio est précurseur. Comment aider le consommateur à passer le cap ? Comment les territoires se maillent pour répondre à ces enjeux ?

16h : « Faciliter les usages sur la consigne »
Maxime THARIN, co-fondateur et responsable des opérations et de l’offre chez Le Fourgon.
 
16h30 : « La [r]évolution de la distribution Bio est-elle à venir ? »
Fabrice GERBER, fondateur de l’enseigne Toujust.

 

INFOS PRATIQUES

Nom / Bio N’Days 2023 – les conférences
Date / 6 juin 2023
Lieu / Bâtiment INEED – Rovalparc – 1 rue Marc Seguin, 26958 VALENCE Cedex 9
Public / Metteurs sur le marché alimentaire et cosmétique, coopératives, distributeurs, experts.

Rester précurseur, accélérer le changement de modèles et embarquer le consommateur dans cette transition sont les trois piliers qui animeront cette journée de conférences et d’échanges entre pairs.

Cette journée du 6 juin à Valence, accessible en présentiel ou en distanciel, sera l’occasion d’imaginer ensemble le bio de demain. Inscrivez-vous dès maintenant sur : www.biondays.com

 

Voir l’évènement dans l’agenda 

 


Pérenniser l’accès au label Bio grâce au programme Défi Algues Bio

Programme Défi Algues Bio - ©CRPMEM

 

Le CRPMEM (Comité Régional des Pêches Maritimes et des Elevages Marins) de Bretagne mène et coordonne depuis plusieurs années des programmes en lien avec l’activité de récolte des algues. Face aux enjeux de la filière française des algues bio (voir l’article ‘filière’ Ingrébio sur les macro-algues bio), le Comité a piloté le programme Défi Algues Bio. Il a pour objectifs de réaliser un état des lieux économique et social de la filière de récolte d’algues de rive labellisée « Agriculture Biologique » et d’évaluer, à court, moyen et long terme, ses contraintes, ses limites et ses besoins. La finalité de ce programme est de pérenniser l’accès au label Bio pour les entreprises de récolte d’algue de rive bretonne. Plusieurs axes d’études ont été menés auprès des entreprises de récolte bretonnes entre 2021 et 2023. La restitution de travaux a été présentée en février dernier aux acteurs de la filière.

 

La prévalence du label bio pour la filière algue en Bretagne

Une enquête menée auprès des entreprises de récolte a montré l’importance du label bio pour la filière. Les 2/3 des entreprises de  

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20ème Baromètre de la consommation bio : une confiance à regagner

Page de couverture du baromètre des produits bio 2023 -© Agence Bio

 

L’Agence Bio vient de publier la 20ème édition du baromètre de perception et de consommation des produits biologiques, menée par l’ObSoCo[1].

Ses résultats renforcent les mauvais résultats du marché depuis 2021 et confirment que les consommateurs se perdent dans les labels : la défiance des consommateurs envers les labels alimentaires de qualité et environnementaux (dont les labels bio Eurofeuille et AB) augmente. Mais également le manque d’informations sur le bio ressenti par les Français  : 52% d’entre eux estiment ne pas avoir assez d’informations sur l’origine des produits biologiques. Et seulement 37% des Français estiment avoir assez d’informations sur le contrôle des produits issus de l’agriculture bio et sa règlementation, ce qui accentue le doute sur le fait que ces produits, bien que labellisés bio, soient totalement bio!

Malgré la conjoncture inflationniste, le frein ‘coût élevé’ des produits bio n’évolue pas. Il demeure le premier frein à l’achat de bio cité mais sans augmentation comme on aurait pu s’y attendre.

On observe en revanche une très forte progression de la remise en question de la réalité du bio : la citation ‘Vous avez des doutes sur le fait qu’ils soient totalement bio‘ arrive en 2ème position des arguments invoqués par 57% des non-consommateurs de bio (+17 points par rapport à 2021). À cela s’ajoute que 44% des répondants « ne voit pas l’intérêt du bio« .

 

Les valeurs et principes de la bio sont à rappeler

Et pourtant, les consommateurs restent convaincus des bienfaits de l’agriculture et de l’alimentation biologique : 82% d’entre eux pensent que l’agriculture biologique contribue à préserver l’environnement, la qualité des sols et les ressources en eau, et 60% pensent que le bio permet une juste rémunération des producteurs.

Mais la consommation se concentre sur une part de consommateurs ‘réguliers’ qui ont intensifié leurs part d’achats bio mais qui sont de moins en moins nombreux (baisse de 16 points des produits alimentaires biologiques au moins une fois par mois).

Dans les détails, le baromètre met aussi en exergue une méconnaissance du Cahier des charges des produits bio (règle des 95% par exemple). Une mauvaise connaissance qui entraine une incompréhension qui augmente quant au prix plus élevé du bio. Alors
que 94 % des Français trouvent que les produits bio coûtent souvent plus cher, ils sont une majorité (59 %) à considérer anormal l’écart de prix avec le conventionnel.

Le bio, label qui répond aux enjeux actuels à la fois sur les sujets environnemental, santé et social, est aussi touché par la crise de défiance qui affecte plus largement la société : défiance envers les labels de qualité publics et privés, remise en cause des origines, doutes sur les méthodes de production.
Selon l’ObSoCo, l
’un des problèmes pourrait également résider dans l’accessibilité à l’offre bio. Dans ce contexte fortement concurrentiel, les enseignes de la grande distribution tendent à rationaliser les assortiments de bio pour favoriser d’autres offres, notamment locales. Une baisse de l’offre qui se ressent dans les résultats du baromètre : si 27% des consommateurs réguliers de bio en achètent au moins une fois par semaine au sein des GMS, cette part est en baisse de 6 points par rapport à 2021. L’insuffisance de l’offre est également fréquemment soulignée par les consommateurs réguliers comme frein à une intensification de leur consommation.

 

L’Agence Bio entend poursuivre ses efforts

La Campagne #bioreflexe, pilotée par l’Agence BIO et reprise par 8 interprofessions en 2022 a fait la preuve de son efficacité à la fois sur la connaissance, la compréhension et la confiance du citoyen/consommateur pour le bio. Là où la campagne a été déployée, les ventes de bio ont augmenté de 5%. D’où l’importance de répéter, amplifier et pérenniser la communication sur les principes et valeurs de l’agriculture biologique.

6% de la consommation des Français est bio. La marge de progrès est encore large pour le premier producteur de bio européen, si on considère le marché de pays voisins comme le Danemark à 14% de bio ou encore l’Autriche à 11%.

Plus que jamais, il est nécessaire que les citoyens/consommateurs soient régulièrement informés sur les bienfaits du bio, et outillés sur les moyens pour manger plus de bio au quotidien quel que soit leur budget.
Pourquoi, et comment manger bio? : ce sont précisément les 2 messages clés que l’Agence BIO a souhaité faire passer à l’occasion du Salon de l’Agriculture.

Encore va-t-il falloir également que les politiques suivent… ce qui aujourd’hui n’est pas le cas si l’on en juge par l’annonce faite sur ce même salon d’une (petite) aide de 10 millions d’Euros pour les filières bio.

 

Pour voir l’étude complète : Baromètre des produits biologiques en France en 2023


[1] L’Observatoire Société et Consommation


10e édition – Concours National de la Création Agroalimentaire Biologique

Remise des prix du concours National de la Création Agroalimentaire Biologique - ©Gers Développement

 

Le Bio « Made in Occitanie » rafle la mise en direct du Salon International de l’Agriculture !

1er Prix « La Truitelle », 2nd Prix « Granolets », Prix Coup de cœur Etudiant « L’Etuverie »
Pour la première fois de son histoire, la remise des Prix de la 10e édition du Concours National de la Création Agroalimentaire Biologique s’est tenue sur le Salon International de l’Agriculture. Un signal fort adressé par Gers Développement, le fondateur du concours et Ecocert France, son parrain historique, pour encourager la filière agroalimentaire bio à s’impliquer au plus près des agriculteurs bio français. A travers leurs innovations, les 10 finalistes ont eux aussi démontré leur volonté de répondre aux enjeux du secteur : créer ou dynamiser les filières bio françaises, aider les producteurs à s’adapter au changement climatique ou valoriser des productions biologiques locales. Ce dernier défi est celui relevé par les 3 lauréats de cette édition anniversaire : « La Truitelle », 1er Prix (Conserves de petites truites de montagne), « Granolets », 2nd Prix (Boissons végétales fermières) et « L’Etuverie », Prix Coup de cœur Étudiant (Spécialité à base d’ail noir). Ils se partageront 30 000€ de dotations en numéraire et prestations pour tracer leur sillon sur le marché de l’alimentation bio.

 

3 lauréats animés par la volonté de valoriser des productions biologiques locales

Les lauréats de cette édition anniversaire témoignent de la même volonté de soutenir une filière locale. « La Truitelle » (1er Prix), implantée dans l’Aude valorise les co-produits issus de la pêche locale et offre une alternative à la consommation d’espèces marines menacées par la surpêche. A partir de petites truites de montagne des Pyrénées labellisées bio, la jeune entreprise élabore des conserves haut de gamme offrant un nouveau débouché aux pisciculteurs bio. « Granolets » (2nd Prix) valorise les céréales produites sur une ferme collective (épeautre, avoine, soja) en boissons végétales fermières. A l’inverse des boissons industrielles, Granolets s’appuie sur un process exigeant sans enzymes de synthèse. Enfin, « L’Etuverie » (Prix Coup de cœur Étudiant), également implantée dans le Gers, transforme l’ail frais de Lomagne, issu d’exploitations familiales, en spécialités culinaires à base d’ail noir (tête entière, gousses, pâte d’ail noir, moutarde à l’ail noir…).

 

10 finalistes implantés partout en France métropolitaine et Outre-mer

Placée sous le sceau de la diversité, cette nouvelle édition a rassemblé des jeunes pousses implantées en Île-de-France, Bretagne, Normandie, Occitanie, Alsace, Auvergne Rhône-Alpes, Île de la Réunion et Provence-Alpes-Côte d’Azur. Positionnées sur différents segments de marché, les 10 finalistes développent des innovations bio en épicerie sucrée (« Ben’h », biscuits orientaux / « Comme des grands », goûters écoresponsables / « Yacon & Co », sirop de yacon), épicerie salée (« Deshyderata », graines germées déshydratées / « Mamilafé », petits pots pour bébé, / « Vieille graine », produits à base de sorgho et millet), boissons végétales (« Granolets »), produits aquacoles (La Truitelle), condiments (« L’Etuverie », ail noir) et boissons (« Hyca », eaux botaniques).

 

Remise des Prix sur le Salon International de l’Agriculture : un signal fort adressé au marché

Gers Développement, fondateur de ce Concours national, a choisi de remettre les Prix de sa 10e édition sur le Salon International de l’Agriculture. Accueilli sur le stand du Conseil Départemental du Gers, il s’agit d’encourager la filière agroalimentaire bio à s’impliquer au plus près des agriculteurs bio français. A l’image des candidats, le concours se veut connecté aux besoins de valorisation des filières biologiques dans un contexte de marché difficile. Si cette filiation semble aujourd’hui naturelle, elle est le fruit de plusieurs années d’engagement. Rappelons d’abord que le Gers est chef de file de l’agriculture bio française avec 116 000 hectares cultivés en bio en 2021. Dès sa création en 2012, ce Concours fut également le premier à être exclusivement réservé aux entreprises agroalimentaires Bio. En 10 ans, on compte parmi ses lauréats de belles réussites sur le marché : BC BIO (lauréat en 2012, racheté en 2018 par le groupe Nutrition & Santé), Ballot-Flurin (lauréat en 2013 / CA : 6 millions d’€), Dardenne (lauréat en 2014 / CA : 4 millions d’€), Quintesens (lauréat en 2015 / CA : 3 millions d’€) …

 

Un concours tourné vers demain avec la création d’un « Prix Coup de cœur Étudiants »

A travers ce nouveau prix, Gers Développement et Ecocert témoignent de leur volonté d’associer les consom’acteurs de demain. Il a été décerné cette année par les étudiants en BTS Sciences et Technologies des Aliments du Lycée Agricole de Beaulieu-Lavacant et du CFA agricole (Gers). Caractère innovant, impact RSE, qualité du produit, potentiel sur le marché, atouts des créateurs, ce nouveau Prix est un laboratoire d’idées pour inspirer les professionnels de l’agroalimentaire de demain.

 

Un parrain prestigieux, des partenaires toujours plus nombreux et 30 000 € de dotations

Créé en 2012 par Gers Développement, le Concours National de la Création Agroalimentaire Biologique est parrainé par l’organisme de certification ECOCERT, leader mondial de la certification Bio. Il est soutenu par des partenaires historiques (CCI du Gers, Relais Vert, CTCPA, Biolinéaires, Ingrébio, Crédit Agricole Pyrénées Gascogne, Studio NP…) et plus récemment par Interbio Occitanie, le Conseil Départemental du Gers et Kiss Kiss Bank Bank, ce dernier formant les entrepreneurs à la mise en place d’une campagne de crowdfunding. Gers Développement et ses partenaires ont remis aux lauréats une dotation financière de 5 000€ (1er Prix) et 2 500€ (2nd Prix). Ils bénéficieront en outre d’un accompagnement commercial et technologique individualisé via les partenaires du concours valorisé à 22 500 € : référencement test (Relais Vert), campagne publicitaire (Biolinéaires), prestations de conseil technologique (CTCPA), accompagnement en sourcing (Ingrébio), en stratégie de communication (Yes We BIO) et d’entreprise (Kiss Kiss Bank Bank).

Voir les lauréats de la 9e édition 

 


L’édition 2023 de « The World of Organic Agriculture » est paru

Le monde de l'agriculture biologique - ©IFOAM - Organics International

 

Contexte de « The World of Organic Agriculture »

« Le monde de l’agriculture biologique » rassemblant les données mondiales à partir de 2021 a été présenté par l’Institut de recherche de l’agriculture biologique (FiBL) et IFOAM – Organics International, le mardi 14 février 2023, à BIOFACH, le principal salon mondial de l’alimentation biologique. Ce rapport (360 pages) présente les résultats de l’enquête annuelle sur l’agriculture biologique dans le monde et comporte de nombreux tableaux, graphiques, cartes et infographies. Il contient des rapports d’experts sur le secteur biologique et des informations sur les tendances émergentes dans toutes les régions ainsi que dans certains pays. Il fournit également des informations générales sur les normes et la législation, le soutien politique et le marché mondial des aliments biologiques.
Cette enquête annuelle est soutenue par le Secrétariat d’État à l’économie (SECO), le Fonds de durabilité de Coop Suisse et la Nürnberg Messe, organisatrice du salon BIOFACH.

 

Quelques chiffres importants sur l’agriculture biologique dans le monde

Les terres agricoles biologiques et les ventes au détail ont toutes deux continué à afficher une croissance dans le monde entier, selon les données de 191 pays (données à la fin de 2021). On remarque que la tendance à la croissance globale observée les années précédentes s’est poursuivie en 2021, mais à un rythme plus lent.

 

En 2021, le marché du bio a atteint près de 125 milliards d’euros – soit une augmentation de près de 4 milliards d’euros ou d’environ 3 %.

 

 

 

Avec 48,6 milliards d’euros, les États-Unis sont restés le premier marché mondial, suivis par l’Allemagne (15,9 milliards d’euros) et la France (12,7 milliards d’euros). Les consommateurs suisses ont dépensé le plus pour des aliments biologiques (425 euros par habitant en moyenne), et le Danemark a continué à avoir la plus grande part de marché des produits biologiques, avec 13 % de son marché alimentaire total.

 

En 2021, 3,7 millions de producteurs biologiques ont été déclarés, soit une augmentation de 4,9 % par rapport à 2020. L’Inde est restée le pays comptant le plus de producteurs biologiques (1,6 million). La majorité des petits producteurs sont certifiés en groupes sur la base d’un système de contrôle interne.

 

 

Un peu plus de 76,4 millions d’hectares étaient gérés de manière biologique à la fin de 2021, soit une croissance de 1,7 % ou 1,3 million d’hectares par rapport à 2020. L’Australie avait la plus grande superficie agricole biologique (35,7 millions d’hectares), suivie par l’Argentine (4,1 millions d’hectares) et la France (2,8 millions d’hectares).

 

 

La superficie agricole biologique a augmenté en Afrique, en Asie, en Europe et en Océanie, tandis qu’elle a diminué dans les Amériques. Un peu moins de la moitié des terres agricoles biologiques mondiales se trouvaient en Océanie (35,9 millions d’hectares). L’Europe avait la deuxième plus grande superficie (17,8 millions d’hectares), suivie de l’Amérique latine (9,9 millions d’hectares).

 

 

En 2021, 1,6 % des terres agricoles dans le monde étaient biologiques. Cependant, de nombreux pays ont des parts bien plus élevées : Le Liechtenstein avait la plus grande part biologique de l’ensemble des terres agricoles (40,2 %), suivi de Samoa (29,1 %) et de l’Autriche (26,5 %). Dans 20 pays, 10 % ou plus de toutes les terres agricoles étaient biologiques.

 

 

Perspectives

La croissance du marché biologique semble avoir stagné en 2022. La réduction des revenus et l’augmentation des prix de nombreux biens de consommation ont amené certains groupes de population à réduire leurs dépenses en produits biologiques.

Malgré tout, la dynamique du secteur biologique a continué à se développer dans le monde entier. De nombreux pays ont maintenu ou lancé des activités de soutien à l’agriculture biologique, notamment de nouveaux plans d’action ou politiques visant à favoriser la croissance. Cette tendance positive s’est reflétée dans l’augmentation du nombre de cadres réglementaires nationaux entièrement mis en œuvre pour l’agriculture biologique, qui est passé à un total de 74 dans le monde.

Pour en savoir plus : The World of Organic Agriculture


De l’innovation en perspective sur l’Espace Ingrédients Bio du CFIA Rennes 2023

Espace Ingrédients Bio au CFIA 2022 - ©Ingrébio

 

Pour sa 26è édition, le salon CFIA (Carrefour des fournisseurs de l’industrie agroalimentaire) de Rennes sera incontournable pour détecter les dernières innovations dans le secteur des ingrédients bio, en particulier grâce au regroupement de cette offre sur « l’Espace Bio ». Cet Espace bio est proposé en partenariat avec Ingrébio. Un Tour Innovation dédié au bio permettra de compléter le parcours « ingrédients bio » dans les allées du Salon (Rendez-vous mardi 14 mars à 15h avec Nutrimarketing).

 

L’Espace Bio regroupera une offre d’ingrédients 100% Bio

Avec un Espace Bio (100% bio), le hall Ingrédients & PAI du CFIA Rennes propose de faciliter le parcours des acheteurs d’ingrédients biologiques. Une quinzaine de fournisseurs y présenteront une offre large d’ingrédients et matières premières bio, mais aussi locaux ou de filières directes, tracées, équitables et durables.

Ils reflèteront avec leur offre diverse, les tendances d’évolution du secteur bio, sur les segments d’application des aliments, des boissons voire même des compléments alimentaires.

La certification biologique garantit un socle minimal de pratiques de production et de transformation plus respectueuses de la nature, de l’animal et de l’homme. Mais face aux enjeux environnementaux et sociétaux, de nombreux acteurs, dont ceux qui seront présents sur l’Espace Bio, vont encore plus loin dans leurs pratiques : ils s’engagent dans la RSE, relocalisent les filières de production, valorisent des coproduits, mettent en place des politiques d’achats responsables, appliquent les principes du Commerce Équitable, s’engagent pour la biodiversité…

Retrouvez sur cet Espace Bio, une diversité de matières premières et d’ingrédients biologiques, équitables, durables, aux origines tracées, des plus bruts aux plus élaborés… Car ces fournisseurs engagés ne perdent pas de vue non plus les attentes fonctionnelles des industries agroalimentaires.

 

 

Retrouvez également l’équipe d’Ingrébio (stand 4-D2) pour toutes vos questions de formulation et de sourcing bio.

 

Les Innovations à découvrir sur l’Espace Bio au CFIA Rennes 2022

Certifié IFS Food V7 en juillet dernier, Actibio (stand 4-D1) propose une gamme très large de plus de 1500 références d’ingrédients biologiques pour l’alimentaire et la cosmétique. Actibio accompagne ses clients depuis leur R&D jusqu’à la mise en production et en marché, en étant force de proposition pour la formulation innovante de leurs produits bio. Actibio propose aussi des prestations de service grâce à un outil industriel permettant de proposer du conditionnement et des mélanges à façon.

Reconnu pour la traçabilité de ses filières bio, Agro Sourcing (stand 4-C1bis) mettra en avant cette année sa filière égyptienne de sésame biologique. Souhaitant apporter une solution sécurisée au marché, c’est en Égypte qu’Agro Sourcing a développé un nouveau partenariat durable. Cultivé en agriculture biodynamique dans un objectif de restauration de la vie dans le désert, le sésame est trié et conditionné localement.

L’UFAB (stand 4-D4) collecte et transforme des légumineuses biologiques en Bretagne pour proposer une offre d’ingrédients fonctionnels nouveaux. Pour compléter sa gamme de protéines texturées et de billettes extrudées, l’UFAB propose des chapelures de pois et de fèveroles bio et sans gluten.

Connu pour ses huiles végétales et ses protéines texturées de soja biologiques, Biolintec (stand 4-D8) annonce le lancement de ses Protéines Texturées Tendres Aromatisées. Cette gamme sera développée sur mesure en fonction de la texture recherchée et la saveur souhaitée. Les TVP se déclinent également en version tournesol et mélanges de légumineuses.

Parmi ces nombreux ingrédients bio, SENFAS (stand 4-C6) met l’accent cette année sur sa gamme de sucres et alternatives sucrées. Sucre de canne, Sucre de betterave, Sucre de Fleur de Coco, Sirop d’Agave, Sucre glace,… des sucres certifiés Fair for Life et/ou possédant un indice glycémique bas. SENFAS dispose également d’une belle offre d’émulsifiants, épaississants et gélifiants bio grâce à ses nombreux partenaires. L’agar agar, la gomme arabique, la gomme de guar et le psyllium blond sont des incontournables pour améliorer la texture et la durée de vie de vos pâtes à tartiner, pains, bonbons, pâtisseries, sauces et bouillons Bio !

Après le déploiement en 2022 de son usine de surgélation dans les Hauts de France, FRDP (stand 4-D5) répond à la demande en légumes biologiques surgelés origine France, notamment des professionnels de la restauration collective et commerciale. Plusieurs de ses filières sont certifiées bio et équitable par Biopartenaire.

Tradin Organic (stand 4-C5) a mis en place des filières directes d’approvisionnement bio, avec des installations de transformation sur place pour des produits clés tels que le cacao, l’huile d’avocat et les produits à base de graines de tournesol. Ces investissements permettent de garantir l’intégrité biologique, la qualité des produits et les normes de sécurité alimentaire les plus élevées.

Toujours avec force innovations,

 

Pour plus d’infos sur le CFIA : https://www.cfiaexpo.com

Pour plus d’infos sur l’Espace Bio : contact@ingrebio.com

Inscription au Tour Innovation Espace Bio : sophie@nutrimarketing.fr


Pour un affichage environnemental fiable et contre les labels trompeurs

Quelles actions menées par les acteurs bio pour lutter contre le greenwashing ? - ©Stock Adobe_ jirsak_31921775

 

À la suite du report de la législation sur l’affichage environnemental au niveau Européen fin 2022, le mois de janvier – et ces derniers mois – ont été aussi riches en actualités françaises sur les questions d’impacts environnementaux de notre alimentation.

Face à l’urgence et dans le contexte antagoniste de difficulté du marché bio, plusieurs actions se superposent sur le plan politique et juridique pour :

  • Montrer ce que les consommateurs attendent de la transition agricole et alimentaire
  • Défendre un modèle d’affichage environnemental complet et fiable pour le consommateur
  • En finir avec la concurrence de labels trompeurs

Si ce sujet vous passionne autant que nous, voici un récapitulatif de ce qu’il faut retenir ce mois de janvier.

 

Ce qu’attendent les consommateurs en matière d’affichage environnemental

Le 12 janvier à l’Assemblée Nationale le collectif d’entreprises En Vérité[1] présentait lors d’une conférence de presse les résultats de l’étude BVA sur ‘Les Français et l’affichage environnemental des produits alimentaires’ conduite en décembre à leur demande. Ces résultats convergent avec les études menées depuis bientôt 2 ans par le Planet-Score. Si pour 86% des Français, un score environnemental est essentiel, il doit avant tout répondre à des critères précis et discriminants tels que l’utilisation de pesticides, le mode d’élevage et l’origine des ingrédients.

Cette étude a été largement relayée par la presse grand public.

Pour plus d’infos : lire le communiqué de presse ou consulter la présentation de l’étude En Vérité/BVA.

 

En échos à cette étude, l’étude Baromètre « Les Français, leur alimentation et la biodiversité », menée par l’association Noé indique également que le Planet-Score permet de répondre à l’attente d’informations des consommateurs. En effet, les résultats de cette étude montrent que les citoyens sont conscients de l’importance des enjeux liés à la préservation de la nature, et sont en demande d’informations sur ce sujet en lien avec les produits alimentaires qu’ils achètent.

Pour plus d’infos : consulter le rapport complet du Baromètre Noé.

 

Loi Climat & Résilience : il est urgent de ne pas se précipiter

La mission d’application de la Loi Climat & Résilience a publié un rapport parlementaire mercredi dernier, qui a été présenté à l’Assemblée Nationale le 11 janvier. Ce rapport fait suite aux auditions d’experts dont l’Ademe, le MTE, UFC-Que Choisir et le Planet-Score fin octobre.

Sur la question de l’affichage environnemental, les rapporteurs recommandent de ne pas précipiter le calendrier de la construction du score d’affichage environnemental pour permettre de résoudre les difficultés identifiées par les acteurs du secteur liées à la méthodologie qui sera retenue. Ils estiment que l’analyse du cycle de vie (ACV), comme seule base du futur score, n’est pas conforme aux politiques publiques environnementales de résilience, de relocalisation et de sobriété et ne permet pas de lutter contre le « greenwashing ». Ils préconisent une approche hybride, alliant ACV et référentiel externe. Ils souhaitent également que la base de calcul de l’ACV soit améliorée et puisse clairement différencier les produits en intra-catégories pour éclairer le choix des consommateurs. Enfin, il apparaît nécessaire selon les députés rapporteurs d’associer les administrations avec l’ensemble des parties prenantes, notamment les organisations citoyennes et de consommateurs dans les travaux, de manière ascendante et partenariale.

Dans le même souci de co-construction des solutions et d’aboutissement à un dispositif efficace et partagé, Sabine Bonnot, porte-parole du Collectif Planet-Score, et Emery Jacquillat, Président de la Communauté des Entreprises à Mission et Parrain de Planet-Score, avait adressé, fin décembre, une Lettre Ouverte à Madame la Première Ministre et aux ministres de la transition écologique, de l’agriculture et à la secrétaire d’État chargée de l’écologie.

Il apparaît important de l’avis de tous, de mettre à profit les 5 ans de la Loi Climat & Résilience (il reste 3,5 ans) pour que l’esprit de la loi votée par les parlementaires soit respecté, et que l’affichage environnemental constitue une réelle incitation à l’amélioration environnementale dans les pratiques des entreprises.

Pour plus d’infos : lire la Lettre Ouverte du Collectif Planet-Score

 

IFOAM Organics Europe attaque l’Eco-score en justice

En parallèle de ces actions politiques françaises, la Fédération européenne de l’agriculture bio et son entité française se sont élevés juridiquement contre des dispositifs d’affichage environnemental trompeurs. Le 25 janvier, IFOAM Organics Europe et l’Association Française des Adhérents de l’IFOAM ont annoncé avoir saisi le Tribunal Judiciaire de Paris pour « demander la cessation de l’usage d’un affichage environnemental des produits du secteur de l’alimentation considéré comme déloyal à l’égard de la production biologique et déceptif pour les consommateurs ». Dans cette action, l’ADEME et les plateformes YUKA, ETIQUETTABLE, et OPEN FOOD FACTS, sont clairement mises en cause, en raison des usages, en tant qu’affichage environnemental, de l’«Eco-score » .

Il est notamment reproché aux utilisateurs de cet « Eco-score », un usage contraire au règlement (UE) 2018/848 du terme « Eco » et possiblement confusant pour les consommateurs. Et l’IFOAM souligne également l’usage d’une méthodologie de notation basée essentiellement sur l’ACV et les données Agribalyse, ce qui, nous le savons maintenant, n’est pas adapté pour les produits agricoles et fournit une information biaisée aux consommateurs.

Pour en savoir plus : lire le communiqué de presse de IFOAM Organics Europe

 

Le label HVE dénoncé comme trompeur en France

Sujet connexe et hasard de calendrier (?), un collectif d’associations et de syndicats[2] saisissait le Conseil d’État pour faire reconnaître la tromperie du consommateur induite par le label Haute Valeur Environnementale (HVE) et mettre un terme au greenwashing entretenu depuis plus de 10 ans par cette certification agricole.

En effet, l’analyse juridique demandée par le collectif à un cabinet d’avocats montre que le label HVE représente une tromperie du consommateur dans la mesure où la promesse d’excellence environnementale sous-entendue par le nom du label et exigée dans la loi n’est toujours pas remplie, même par le nouveau référentiel révisé et adopté fin 2022.

En effet, la loi française indique que le label HVE doit récompenser des modes de production particulièrement respectueux de l’environnement. Or deux études récentes, publiées par l’Office Français de la Biodiversité et l’IDDRI ont démontré que le contenu du label HVE n’était pas plus exigeant que la moyenne des pratiques agricoles françaises.

Selon les associations, ce label trompeur concurrence de façon déloyale le label Agriculture Biologique et contribue à brouiller la perception du consommateur.

Pour en savoir plus : lire le communiqué de presse
Et pour aller plus loin, consulter la synthèse de l’Évaluation des performances environnementales de la certification HVE de l’OFB (oct. 2022) et les conclusions de l’évaluation de l’IDDRI de 2021.

 

Rappelons enfin qu’est également entré en vigueur le 1er janvier 2023, la loi ‘anti-greenwashing’, l’une des mesures les plus emblématiques de la loi Climat & Résilience, qui vise à limiter les pratiques de greenwashing des entreprises et d’interdire de tromper les consommateurs.

A suivre donc de près pour les résultats de ces actions en justice.

 


[1] Le Collectif En Vérité réunit 60 marques alimentaires bio et conventionnelles, demandant la transparence sur les emballages.
[2] UFC-Que Choisir, Générations Futures, Agir Pour l’Environnement, Fédération Nationale d’Agriculture Biologique (FNAB), Syndicat National des entreprises de l’agroalimentaire bio (Synabio), Bio Consom’acteurs, Réseau Environnement Santé.


Natexbio Challenge 2023 « Spécial 5 ans »

- ©Natexbio Challenge 2023

 

Depuis 5 ans déjà, le Natexbio Challenge s’installe en tant que rendez-vous majeur des jeunes entreprises porteuses de projets innovants autour de la bio. Au cours de ces cinq années passées, le challenge nous a permis de découvrir des centaines de projets, et d’en récompenser une douzaine de manière très concrète, certains d’ailleurs faisant l’objet de belles réussites à l’image de la Biscuiterie Handi-Gaspi ou de la marque Bio Demain (Pour Demain).

Natexbio Challenge se développe en 2023 ! Dans les semaines à venir, nous vous en dirons plus sur les nouveautés, mais d’ores et déjà préparez votre candidature, les inscriptions se clôtureront le 21 mai 2023.

Les 3 lauréats recevront cette année des dotations d’une valeur de :

  • 1er prix : un chèque de 10 000 euros
  • 2e prix : un chèque de 7000 euros
  • 3e prix : un chèque de 5000 euros

 …et des avantages pour faire découvrir leurs projets au plus grand nombre

 De plus, chacun se verra offrir un stand de 3m2 sur le prochain salon Natexpo qui se tiendra à Paris du 22 au 24 octobre 2023. Une mise en relation avec les réseaux de magasins bio spécialisés potentiellement intéressés leur sera également facilitée.

 Sans oublier les nominés dont les projets seront présentés dans notre dossier de presse et exposés sur le stand de La Maison de la Bio pendant toute la durée du salon Natexpo. En termes de communication ; ils bénéficieront de retombées au niveau national au travers d’une campagne média et de la newsletter mensuelle de la Fédération Natexbio.

 N’attendez plus pour y participer ! Comme l’ont fait nos gagnants Yenci (Yacon & co), Les Crèmeries Unies (Bon Dimanche) et l’Etuverie en 2022, inscrivez-vous dès aujourd’hui et jusqu’au 21 mai sur natexbiochallenge.com

Pour en savoir plus sur les lauréats 2022.